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Récréation : Que valent 3 supposées preuves contre une rhétorique ingénieuse ?

Vendredi 4 novembre 2011   

Récréation : Que valent trois (supposées) preuves contre une rhétorique ingénieuse ? quand les vieux ne veulent pas partager… « 25 : 5 = 14 »

Un extrait – bien connu je crois dans le milieu de la Didactique – d’un film américain (inconnu de moi) des années 40-50. http://www.youtube.com/watch?v=oJS8GszWJuQ )

Il peut inspirer bien des réflexions aux didacticiens mathématiciens: sur la pratique dans l’enseignement de « preuves » illusoires, sur les rapports de la rhétorique avec les démarches de preuves, sur la culture du calcul numérique dans l’Amérique des années 40-50, et bien plus encore… Cette mise en scène des fausses preuves a dû avoir un grand succès car elle a été reprise dans plusieurs scènes de plusieurs films à l’époque (notamment avec Abbott et Costello). Et pourquoi fait-elle rire ? Pourquoi nous donne-t-elle cette certaine émotion teintée d’un sentiment de satisfaction tranquille ? Peut-on l’utiliser avec des élèves ?