Guy Brousseau

Résumé
L’auteur présente la méthode qui lui permet de concevoir des séries de leçons et d’activités en organisant, en vue d’un apprentissage nouveau, les relations des enfants avec un milieu (soit les premiers éléments de ce qui deviendra la Théorie des Situations didactiques). Il explicite les différences significatives entre plusieurs processus dialectiques et les schémas qui modélisent ces interactions en situations de types différents (action, formulation, validation).  Voir en annexe: Un exemple de processus de mathématisation

Titre Auteur Guy Brousseau

Langue Français
Date de production, écriture 1970
Publié dans l’ouvrage collectif La mathématique à l’école élémentaire, A.P.M.E.P., Paris.
Date de publication : 1972
Pages : 428-457

Mots-Clés : Information ; sanction ; modèle implicite d’action ; communication ;  répertoire ; émetteur ; récepteur ; validation sémantique et syntaxique ; proposant ; opposant.

Commentaire
Ce texte correspond à la première partie de la Conférence prononcée à Clermont-Ferrand lors des Journées de l’A.P.M. de mai 1970 (sous le titre “Apprentissage des structures”). Il consiste en un exposé  théorique général, qui est illustré dans une deuxième partie : Un exemple de processus de mathématisation
L’ensemble de cette conférence a été publié en même temps, mais sous la forme de deux articles successifs, dont le second s’intitule : « Un exemple de processus de mathématisation. L’Addition dans les naturels : C.P. – C.E.1 ».
Ces deux articles ont d’abord été publiés en 1971 dans les Cahiers de l’IREM n° 9, Prolégomènes, puis en 1972 dans l’ouvrage : La mathématique à l’école élémentaire.

Texte annexe : Un exemple de processus de mathématisation

Pour lire le texte  Processus_de_mathematisation 70-74

Un exemple de processus de mathématisation 70-74

Résumé
L’auteur résume une série de leçons réalisées aux premiers niveaux de l’enseignement élémentaire pour illustrer comment il envisage une amélioration de la transmission scolaire des savoirs.
Il montre comment les définitions et les propriétés des nombres naturels peuvent être mises en œuvre par les élèves dans des situations appropriées, utilisées, puis formulées et ensuite expliquées par des adaptations spontanées à des situations convenables. Cet exemple oppose des techniques précises aux naïves approches dogmatiques ou empiriques de l’enseignement.

Titre Un exemple de processus de mathématisation
Sous-titre L’Addition dans les naturels: C.P. – C.E.1.

Auteur Guy Brousseau
Langue Français
Nom de l’ouvrage collectif La mathématique à l’école élémentaire, A.P.M.E.P., Paris.
Date de publication 1972
Pages 443-457

Mots-Clés
Situations (activités), optimisation ; désignation ; syntaxe ; égalité.

Commentaire
Ce texte correspond à la seconde partie de la Conférence prononcée à Clermont-Ferrand lors des Journées de l’A.P.M. de mai 1970 (sous le titre “Apprentissage des structures”).
Il illustre l’exposé  théorique de la première partie.
Les deux parties de cette conférence ont été publiées en même temps, mais sous la forme de deux articles successifs, dont le premier s’intitule : « Processus de mathématisation ».
Ces deux articles ont d’abord été publiés en 1971 dans les Cahiers de l’IREM n° 9, Prolégomènes, puis en 1972 dans l’ouvrage La mathématique à l’école élémentaire.

Pour lire le texte « un exemple de processus de mathématisation » cliquer ici   Annexe Processus de Math